Ces composés naturels dérivés du soja mais peut-être aussi d'autres plantes pourraient réduire le risque de récidive du cancer du sein et améliorer la survie, relève à nouveau cette étude de cancérologues de l’Université John Hopkins. Ce n’est pas la première recherche, en effet, à suggérer les avantages des produits à base de soja et de ses isoflavones contre le cancer du sein.
Cette équipe de pédiatres, de néonatalogiste et de nutritionnistes de l’Université de Linköping (Suède) révèle ici comment des nourrissons extrêmement prématurés, parce qu’extrêmement fragiles, peuvent contribuer à orienter de manière sensible les soins de santé, pour tous les bébés. En particulier, en matière de nutrition : les grands prématurés ont besoin d’un enrichissement en complément du lait maternel, mais cet enrichissement doit-il être à base de lait maternel ou de lait de vache ?
Et si un régime à prédominance végétale ou végétarienne était associé à un risque considérablement réduit de COVID-comme d’autres infections d’ailleurs ? C’est la démonstration de cette étude d’une équipe de l’Université de Sao Paulo qui révèle, dans le BMJ Nutrition Prevention & Health qu’une alimentation riche en légumes, légumineuses, noix et pauvre en produits laitiers et en viande peut être protectrice contre le COVID et réduire jusqu’à 39 % le risque.
Décrypter le métabolisme des flavonoïdes, c’est la mission que s’est donné cette équipe de biologistes et de nutritionnistes de l’Université d’Osaka. Ces travaux, publiés dans la revue Chemical Research in Toxicology, permettent de mieux comprendre comment notre corps décompose les flavonoïdes des plantes et comment ce processus explique les bénéfices des régimes alimentaires à base de plantes.
Les régimes alimentaires végétariens, végétaliens et riches « en plantes » sont plébiscités avec de nombreuses allégations de santé pour des légumes ou des préparations tels que le brocoli, le céleri et le tofu, riches en flavonoïdes.
Cette équipe de nutritionnistes de l’Université de Californie – Riverside rappelle pourquoi, avec l’arrêt du tabac, la pratique de l’exercice et de la méditation, « manger moins gras » devrait être l’une des résolutions de la Nouvelle Année. Alors que de multiples études ont montré que les acides gras saturés nuisent à la santé métabolique et cardiovasculaire, cette nouvelle recherche, publiée dans les Scientific Reports, montre que les régimes trop riches en graisses affectent les gènes liés non seulement à l'obésité, à certains cancers et aux MICI, mais aussi au système immunitaire, aux fonctions cérébrales et très probablement au risque de COVID sévère.
Tout le monde ne souhaitera pas opter pour un régime végétalien, cependant ce régime qui exclut toute consommation de produits d'origine animale, confirme sans doute possible, ses avantages pour la santé vasculaire, avec cette étude menée sur des jumeaux, par une équipe de cardiologues et de nutritionnistes de la Stanford Medicine et publiée dans le JAMA Network Open.
Bien qu’il soit reconnu que manger moins de viande améliore la santé cardiovasculaire, les études sur l’alimentation sont souvent biaisées par des différences génétiques, les niveaux d’études et les autres facteurs de mode de vie.
Au-delà d’être un retour d’expérience, spécifique aux États-Unis, cette étude, publiée dans les Annals of Internal Medicine, met en exergue l’importance des programmes d’aide nutritionnelle, aux plus démunis. Ici, il s’agit du programme SNAP ou « Supplemental Nutrition Assistance Program » qui apporte une aide financière d’environ 250 $ à plus de 20 millions de foyers américains (soit environ 10 % des foyers).
L’étude est menée aux États-Unis et ses résultats ne valent probablement à l’identique pour tous les pays riches, cependant ils illustrent une tendance qui continue à progresser celle du grignotage, des « snacks » et de la malbouffe. Ainsi, l’analyse, publiée dans la revue PLoS Global Public Health constate, qu’en moyenne, la consommation de ce type de collations représente au quotidien, l’équivalent calorique d’un repas complet.
La consommation de viande rouge est-elle liée à l’inflammation ? Cette équipe du Baylor College of Medicine (Houston) nous répond : après ajustement en fonction de l'indice de masse corporelle (IMC), la consommation de viande rouge non transformée et transformée n’est pas directement associée aux marqueurs d'inflammation. Ces données, publiées dans l’American Journal of Clinical Nutrition suggèrent ainsi que le poids corporel, et non la viande rouge, pourrait être, sur les plans de la nutrition et du métabolisme, le facteur le plus déterminant.
Certains nutritionnistes parlent de « psychiatrie nutritionnelle », mettant en pratique le choix d’une alimentation adaptée à gommer les symptômes de certains troubles mentaux. Cette équipe de l’Université George-Mason (Fairfax) réunit ici, dans la revue Nutrients, les preuves de la littérature montrant, qu’une alimentation déséquilibrée contribue aussi à une mauvaise santé mentale. Des données qui font non seulement progresser la compréhension du lien entre nutrition et mental, mais sensibilisent aussi le public à l’importance d’une alimentation riche en anti-oxydants pour le cerveau aussi.
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