Ce test d'urine révèle la qualité de votre alimentation mais surtout si c’est « la meilleure solution pour votre corps ». C’est le développement d’une équipe britannique qui analyse, avec ce test, toute une série de métabolites dans les urines, des marqueurs objectifs de la qualité de l'alimentation. Les résultats, présentés dans la revue Nature Food, suggèrent que ce test pourrait même prédire, toujours à partir de cette signature « métabolique », le risque d'obésité, de diabète et/ou d'hypertension artérielle.
Ces chercheurs japonais de l’Université de Kyushu montrent que le déclin cognitif peut être réduit chez la souris avec un dérivé du soja capable de passer la barrière hémato-encéphalique et pénétrer intact dans le cerveau. Ces travaux in vivo montrent dans la revue npj Science of Food que l’ingestion de la protéine permet d’améliorer la mémoire de travail et à long terme chez des souris modèles d'Alzheimer.
La vitamine D pourrait aider à prévenir un effet secondaire courant de l'immunothérapie anticancéreuse, la colite, une réaction inflammatoire dans le côlon, conclut cette équipe de cancérologues de Boston. Ces données présentées dans la revue Cancer de l'American Cancer Society (ACS) précieuses pour contrer ces effets indésirables, vont permettre de renforcer l’observance des traitements par immunothérapie et améliorer le pronostic des patients.
Au vieillissement, même « normal » sont associées une baisse globale des performances physiques et mentales et des « maladies liées à l’âge ». Un mode de vie sain -avec une alimentation diversifiée et équilibrée et la pratique de l'exercice- peut contribuer à prolonger la durée de vie en bonne santé. Cependant, au-delà d'un vieillissement en bonne santé, de nombreuses équipes travaillent à la recherche de nouvelles thérapies pour prolonger encore notre durée de vie.
Les toutes dernières lignes directrices sur l'alimentation et l'activité physique pour la prévention du cancer viennent d’être publiées par la Société américaine du cancer. Des recommandations présentées dans CA: A Cancer Journal for Clinicians, qui mettent l’accent sur la réduction de la consommation de viande rouge, sur une pratique régulière de l'activité physique et, si possible, sur l’abstinence de toute consommation d’alcool.
Les nourrissons nés prématurément peuvent avoir besoin d'une nutrition parentérale -ou intraveineuse- pour obtenir l’alimentation nécessaire, car leur système digestif est immature et n’est pas en mesure de digérer les nutriments. Cependant, une nutrition parentérale prolongée peut entraîner des complications, notamment une cholestase (ictère), ou un manque de circulation biliaire du foie dans l'intestin grêle, ce qui entraîne une accumulation d'acides biliaires et des lésions hépatiques.
« Fight, flight or grab a bite » écrivent les chercheurs. Les émotions négatives induisent différentes réponses, selon les individus, l’agressivité, la fuite ou une frénésie alimentaire. Néanmoins, ces réponses alimentaires chez les « mangeurs émotionnels » sont fréquemment le signe d’un risque accru de troubles du comportement alimentaire (TCA) tels que la boulimie, nous expliquent ces chercheurs de l’Université de Salzbourg, dans la revue Frontiers in Behavioral Neuroscience.
Ajouter un mélange d'épices à son alimentation peut aider à réduire l'inflammation aiguë qui suit un repas trop riche, conclut cet essai contrôlé randomisé d’une équipe de la Penn State : ainsi une petite cuillère ou 6 grammes d'épices mélangées font baisser de manière significative les marqueurs d'inflammation postpandriale et rendent plus sain plus digeste, un repas trop riche en graisses, concluent ces chercheurs dans le Journal of Nutrition.
Si une déficience ou une carence en vitamine D est clairement associée à une vulnérabilité accrue aux infections respiratoires, dont COVID-19, les preuves d’intérêt d’une supplémentation, en prévention ou pour le traitement de COVID-19, restent limitées. Même après le confinement et donc une moindre exposition à la lumière du soleil. C’est la démonstration de cette nouvelle méta-analyse, présentée dans la revue BMJ, Nutrition, Prevention and Health qui engage néanmoins en renforcer, par l’alimentation seulement, notre statut en vitamine D.
La combinaison jeûne et vitamine C apporte ses premières preuves d'efficacité comme traitement d'appoint pour les cancers difficiles à traiter, conclut cette équipe de chercheurs de l’Université de Californie du Sud (USC) et de l'IFOM Cancer Institute (Milan). Cette étude pré-clinique, présentée dans la revue Nature Communications, suggère en effet qu'un régime imitant le jeûne peut soutenir le traitement de certains types de cancer en particulier lorsqu'il est combiné avec une supplémentation en vitamine C.
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