Les femmes vivent déjà plus longtemps, elles pourraient vivre encore mieux, avec une alimentation adaptée, souligne cette équipe de nutritionnistes de l’Université de Géorgie (UGA). L’étude, publiée dans la revue Nutritional Neuroscience, éclaire encore un peu plus l’importance du facteur alimentation et précise le rôle bénéfique d’antioxydants spécifiques, des fruits et de légumes, contre les problèmes de santé des femmes. Ces bénéfices sont particulièrement marqués contre les pathologies qui touchent les femmes de manière disproportionnée, comme la DMLA ou encore les démences.
Une consommation élevée de poisson peut être associée à un risque accru de mélanome, conclut cette équipe de l'Université Brown (Providence) : c’est aussi le cas, avec la consommation de poisson non frit, conclut cette vaste étude publiée dans la revue Cancer Causes & Control, qui appelle à mener une enquête plus approfondie. En effet, jusqu’à cette recherche, les études précédentes portant sur l’association entre la consommation de poisson et le risque de mélanome ont plutôt abouti à des résultats contradictoires.
Jusque-là, ce sont les bénéfices sur la santé physique du jeûne intermittent qui ont été surtout documentés, ainsi que son effet sur la longévité. Cette nouvelle étude menée par une équipe de l’University of Southern California et publiée dans les Cell Reports, révèle que le jeûne intermittent pourrait aussi présenter des avantages pour la santé cognitive : ici, un régime imitant le jeûne réduit les signes de démence chez la souris.
Plus l’empreinte carbone de l’alimentation est faible, et plus la réduction du taux de cholestérol sanguin est élevée, conclut cette équipe de nutritionnistes de l'Hôpital St. Michael's et de l'Université de Toronto qui prend en compte le rôle de l'alimentation simultanément dans la réduction des émissions de carbone et dans l'amélioration de la santé. L’étude, présentée dans l’American Journal of Clinical Nutrition soutient ainsi le régime végétalien à faible teneur en glucides pour des avantages pour la santé, similaires au régime végétarien.
Cette équipe de nutritionnistes et biologistes de la Western New England University rappelle les effets « étonnants » du raisin et son potentiel « remarquable » de bénéfices pour la santé. L’étude, soutenue par l’organisation professionnelle California Table Grape Commission confirme, dans la revue Foods, l’impact bénéfique de ses antioxydants sur le métabolisme et la durée de vie, notamment.
En pratique, l'ajout d’un peu moins de 2 tasses de raisins par jour à un régime de type occidental riche en graisses permet une réduction de la stéatose hépatique et prolonge la durée de vie.
Cette nouvelle analyse des données de la cohorte française NutriNet Santé suggère un lien possible entre les édulcorants artificiels et les maladies cardiaques et confirme, dans le British Medical Journal (BMJ) que ces additifs ne doivent pas être considérés comme une alternative saine et sûre au sucre.
L'analyse révèle, précisément, une association directe entre une consommation plus élevée d'édulcorants artificiels et un risque accru de maladies cardiovasculaires, dont de crises cardiaques et d’accidents vasculaires cérébraux (AVC).
Les régimes riches en calcium et en potassium peuvent aider à prévenir les calculs rénaux symptomatiques et récurrents, conclut cette équipe de néphrologues de la Mayo Clinic. Alors que des changements de régime sont souvent prescrits pour prévenir les calculs rénaux récurrents, il existait peu de données fiables sur ces facteurs alimentaires et leur efficacité. L’étude, publiées dans les Mayo Clinic Proceedings, révèle que l'enrichissement du régime alimentaire avec des aliments riches en calcium et en potassium peut contribuer, de manière efficace, à cette prévention.
Pourquoi le jeûne réduit-il les crises ? Cette équipe de pédiatres du Boston Children's Hospital identifie des voies moléculaires qui pourraient conduire à des alternatives au jeûne -ainsi qu’au régime cétogène-, 2 régimes alimentaires documentés pour réduire les crises. Ces travaux, publiés dans les Cell Reports participent aussi à améliorer la compréhension de l’axe intestin–cerveau.
La restriction calorique a déjà été associée à une réduction des crises d'épilepsie.
Comment l'alimentation et le microbiome affectent-ils le risque de cancer colorectal ? C’est la question pratique que se pose ici l’équipe d’oncologues et de gastroentérologues de l’Université de Cincinnati, qui explique pourquoi, si grâce au dépistage, l’incidence du cancer colorectal est réduite chez les plus âgés, elle augmente fortement chez les jeunes adultes. Une explication réside dans le rôle du régime alimentaire occidental et du microbiote intestinal qui sont confirmés ici comme des facteurs contributifs majeurs.
Cette vitamine que l’organisme ne sait pas fabriquer et qui n’est apportée que par l’alimentation ou la supplémentation est décrite ici, par cette équipe de psychiatres de l’Université de Reading comme efficace à réduire l'anxiété et la dépression : il s’agit de la vitamine B6. Evaluée auprès de jeunes adultes, cette supplémentation à forte dose et sur 1 mois, permet en effet de réduire les sentiments d'anxiété et de dépression.
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