On sait que les omega-3 sont bénéfiques à la santé cognitive mais on ignore si à niveaux très élevés dans le cerveau, ils pourraient éradiquer les maladies neurodégénératives et quels seraient alors leurs éventuels effets indésirables. D’autant que s’il existe des suppléments contenant ces acides gras, il existe peu de preuves montrant qu’ils permettent d’augmenter, en réalité, les acides DHA ou EPA dans le cerveau.
Des niveaux élevés de métabolites sanguins issus des œufs associés à un risque moins élevé de diabète de type 2 ? C’est la conclusion de cette recherche de l’University of Eastern Finland qui semble suggérer un bénéfice antidiabétique avec la consommation d’un œuf par jour. Des données publiées dans la revue Molecular Nutrition and Food Research qui viennent alimenter le débat sur les propriétés néfastes ou bénéfiques des œufs.
Pourquoi les patients atteints du syndrome métabolique on-ilst besoin de plus de vitamine C ? Pour lutter contre l'épuisement des antioxydants, révèle cette étude de l’Oregon State University (OSU). Une conclusion documentée dans la revue Redox Biology et des conseils précieux pour les près de 35% de personnes, vivant dans les pays riches et atteintes de ce syndrome.
L’auteur principal, le Dr Maret Traber, professeur à l'OSU renouvelle cette recommandation bien connue : « Mangez de 5 à 10 portions de fruits et légumes par jour, vous obtiendrez des fibres, de la vitamine C et vous protégerez vraiment votre intestin et votre santé métabolique ».
Au cours du repas, votre cerveau vous remercie deux fois : quand vous mangez et quand les aliments atteignent votre estomac. Cette recherche menée par PET scan chez des humains par une équipe de l'Institut Max Planck (Allemagne) suggère en effet une double libération de dopamine dans le cerveau durant la collation. Cette étude, présentée dans la revue Cell Metabolism, conclut que la suppression de la libération de dopamine induite par les intestins pourrait entraîner une suralimentation d’aliments désirés, comme de junk food en particulier.
La connaissance de l’apport calorique associé aux aliments peut induire le cerveau à revoir « ses » choix alimentaires, conclut cette équipe du Collège de Dartmouth (New Hampshire). Des conclusions présentées dans la revue PLoS ONE qui incitent simplement à mieux informer les consommateurs des calories apportées par chaque aliment : leur cerveau les trouvera spontanément moins désirables : l’éducation nutritionnelle passe par la teneur en calories.
Il existe une interaction bénéfique entre les statines, destinées à réduire le taux de cholestérol, et l’adhésion à un régime alimentaire de type méditerranéen, révèle cette étude de l’Istituto Neurologico Mediterraneo Neuromed (I.R.C.C.S.- Italie), et cette interaction converge vers l’objectif recherché, la réduction du risque de récidive de crise cardiaque ou d'accident vasculaire cérébral (AVC). Des données présentées dans l’International Journal Cardiology qui rappellent simplement que la première mesure de prévention du risque cardiaque est d’opter pour un mode de vie sain.
Cette équipe de l’Université de l'Illinois à Urbana-Champaign lie les niveaux de marqueurs de certains nutriments dans le sang, à une meilleure cognition chez les personnes âgées. Cette relation entre les concentrations sanguines de ces nutriments clés et la connectivité cérébrale, documentée dans la revue NeuroImage, engage une fois de plus à adhérer à un régime de type méditerranéen.
L'étude a examiné 32 nutriments clés du régime alimentaire méditerranéen, déjà associé, par de précédentes recherches, à une meilleure fonction cérébrale au cours du vieillissement.
Le lait, les œufs, le poisson, les fruits de mer, les noix, les arachides, le blé et le soja sont parmi les aliments allergènes les plus courants. L’incidence des allergies alimentaires augmente. Alors, l'alimentation de la mère pendant la grossesse pourrait-elle avoir un impact sur le risque d’allergies chez l’enfant et comment ? C’est la question à laquelle tente de répondre cette équipe du Children's National Health System (Washington), à l’occasion du Congrès annuel de l’American College of Asthma Allergy and Immunology.
Ces chercheurs du Brigham and Women's Hospital (Boston) veulent comprendre le bénéfice considérable d’un régime méditerranéen sur le risque cardiovasculaire. Dans le JAMA Network Open, ils identifient, précisent et évaluent les mécanismes sous-jacents pouvant expliquer cette réduction de 25% du risque cardiovasculaire grâce au régime alimentaire. Un message important pour chacun d’entre nous et les décideurs en Santé publique.
Les chercheurs du Brigham and Women's Hospital et de la Harvard Medical School apportent ici de précieuses conclusions à partir d’une étude de cohorte menée auprès de femmes (vivant aux États-Unis) et ayant déclaré adhérer à un régime alimentaire de type méditerranéen.
Une nouvelle revue de la littérature confirme les régimes végétariens comme adaptés et bénéfiques pour la santé cardiaque, l'endurance et une meilleure récupération du cœur, en particulier chez les grands sportifs. Un ensemble solide de preuves scientifiques présenté dans la revue Nutrients des bénéfices des régimes allégés en viande, pour les athlètes, et les autres.
L’exemple est donné d’athlètes connus, comme Venus Williams (tennis) ou Lewis Hamilton (Formule 1) ou encore Derrick Morgan (football américain) qui mettent déjà en avant la capacité de tels régimes, à base de plantes, à améliorer leurs performances sportives.
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