En particulier chez les femmes dont les femmes ménopausées ne prenant pas d'hormones, les isoflavones du tofu et des protéines végétales sont associées à un risque réduit de maladie cardiaque, conclut, à nouveau, cette étude observationnelle publiée aujourd'hui dans Circulation, la revue de l'American Heart Association.
L’équipe de la Harvard Medical School et du Brigham and Women's Hospital a analysé les données de plus de 200.000 participants de 3 études prospectives portant sur le lien entre la nutrition et la santé ; tous les participants étaient exempts de cancer et de maladie cardiaque à l’inclusion.
En analysant comment la chirurgie de pontage gastrique, une forme de chirurgie bariatrique ou chirurgie de perte de poids affecte le microbiome intestinal, cette étude de l’Université de l'État d'Arizona et de la Mayo Clinic souligne à nouveau l'importance des changements microbiotiques sur le métabolisme et la gestion du poids corporel. En documentant ces changements dans la revue NPJ Biofilms and Microbiomes, l’équipe soutient la voie de ma manipulation du microbiote intestinal pour améliorer le métabolisme et lutter contre l’obésité.
Les régimes à base de plantes sont bénéfiques à la santé cardiovasculaire, mais à une condition ne pas faire d’écarts, en grignotant des aliments moins sains comme les bonbons, les céréales raffinées ou des jus de fruits sucrés. Si l’observance n’est pas totale, et si l’on compense les fruits et légumes par de petits à-côté sucrés, le régime végétarien ne fait pas mieux qu’un régime occidental classique, pour prévenir le risque cardiovasculaire.
Le régime keto ou cétogène, adopté pour la perte de poids ou la gestion de maladies telles que le diabète de type 2 ou encore l’épilepsie, entraîne son son halo d’effets indésirables décrit ici par ses adeptes comme « une grippe keto ». De quoi s’agit-il ? De symptômes similaires à la fatigue grippale, des nausées, des étourdissements, une diminution de l'énergie, une sensation de faiblesse et des altérations du rythme cardiaque.
Certes, l’étude est soutenue par le « Hass Avocado Board, USDA », cependant les bénéfices métaboliques de l’avocat ne restent pas à démontrer : si de nombreuses études plaident pour sa consommation quotidienne, contre le syndrome métabolique et le risque cardiaque, cette nouvelle recherche, menée à Université de l'Illinois à Urbana-Champaign suggère que sa consommation quotidienne aurait également des effets cognitifs bénéfiques : l’avocat améliore l'attention chez les personnes en surpoids ou obèses, concluent les chercheurs dans le Journal of Psychophysiology
« Il existe plusieurs façons de manger pour optimiser la santé du cerveau », rappelle l’auteur principal, Naiman A.
C’est l’Agence de Sécurité alimentaire européenne (EFSA) qui l’indique, à ce jour aucune preuve ne suggère que la nourriture puisse être une source ou une voie de transmission du nouveau coronavirus SRAS-CoV-2. Cependant, les différentes organisations de santé rappellent l’importance du respect de mesures d’hygiène strictes lors de la préparation et la prise des repas.
La Responsable scientifique de l'EFSA, Marta Hugas rappelle que « les expériences des précédentes flambées de coronavirus apparentés, comme le coronavirus du syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS-CoV) et le coronavirus du syndrome respiratoire du Moyen-Orient (MERS-CoV), montrent que la transmission par la consommation alimentaire ne se produit pas.
Quand faut-il manger pour bien gérer son poids? Faut-il prendre un petit déjeuner ? Faut-il éviter les collations de fin de soirée ? Cette équipe de l'Université de Vanderbilt confirme, dans la revue PLoS Biology, tout l’intérêt de la chrononutrition : ce n'est pas seulement le nombre de calories que vous mangez, mais quand vous les mangez, car le moment des repas détermine dans quelle mesure on brûle ces calories.
Un régime pauvre en glucides redonne-t-il « un coup de jeune » au cerveau ? Un régime alimentaire pauvre en glucides (ou « carbodiet ») pourrait en effet prévenir et inverser les effets liés à l'âge dans le cerveau, soutient cette équipe de l’Université Stony Brook (New York). L’étude démontre, par neuroimagerie que si les premiers changements neurobiologiques associés au vieillissement peuvent être observés à un âge bien plus jeune que prévu, dès la quarantaine, ce processus, plus précoce qu’on ne le pensait, peut être prévenu ou inversé par des changements de régime alimentaire.
Vous n'arrivez pas à dormir mais ne voulez pas prendre de médicaments ? Le concept est simple : les prébiotiques alimentaires peuvent apporter des changements favorables au microbiome intestinal et réduire notre vulnérabilité aux perturbations induites par le stress, en particulier lors de comportements complexes comme le sommeil. La théorie est défendue par cette équipe de Université du Colorado à Boulder qui élargit les bienfaits des fibres alimentaires au-delà de la santé digestive.
Ce flavonoïde présent en forte concentration dans les oranges et les mandarines pourrait contribuer à lutter contre l'obésité, révèle cette étude de l’Université de Western Ontario, publiée dans le Journal of Lipid Research. Avec des implications pratiques et immédiates ! L'équivalent de seulement 2 verres et demi de jus d'orange par jour pourrait en théorie, inverser l'obésité et réduire le risque de maladie cardiaque et de diabète.
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