Protéines animales ou végétales ? 2 conclusions simples à cette étude, les protéines de la viande sont « malsaines », les protéines des noix et des grains entiers sont bénéfiques à la santé cardiaque. Non, les auteurs parlent bien de « mauvaises » protéines et non de « mauvaises » graisses. Leurs conclusions présentées dans l’International Journal of Epidemiology, ouvrent de nouvelles voies de recherche en nutrition, sur les effets respectifs des différents types de protéines, en particulier sur les facteurs de risque cardiovasculaire.
La restriction de certains acides aminés souffrés, c’est-à-dire dans la composition desquels entre le souffre, pourrait constituer une nouvelle approche diététique de la santé, selon cette étude de la Penn State, présentée dans les Annals of the New York Academy of Sciences. Les chercheurs partent des effets bénéfiques de la restriction calorique, puis de la restriction de certains acides aminés. Ils suggèrent enfin qu’une restriction en méthionine (MET), un acide aminé essentiel pourrait même favoriser la longévité.
Cette étude associe, précisément chez les femmes âgées, les apports alimentaires de légumes crucifères, comme le brocoli, le chou-fleur, le chou et les choux de Bruxelles à une meilleure santé cardiovasculaire. Des conclusions présentées dans le Journal of the American Heart Association qui ajoutent à la preuve des bénéfices d’un régime végétal en général, ainsi que de certains types de légumes, pour la santé des artères.
De nombreuses études ont déjà montré les effets bénéfiques, métaboliques et neuroprotecteurs de ces pigments spécifiques aux baies, dont la myrtille, le cassis et l'airelle, les anthocyanes. Mais c’est un nouveau mécanisme protecteur que décrypte ici cette équipe de University of Eastern Finland : ces anthocyanes préviennent le vieillissement cellulaire, donc réduisent le risque de cancer et, dans certains cas réduisent même l’expression de « gènes du cancer ».
En dépit d’un manque de preuves scientifiques, de nombreux experts continuent de recommander un apport élevé en protéines aux patients plus âgés, avec des allégations de bénéfices pour la masse musculaire, la force et le bien-être. Cet essai clinique randomisé, mené par une équipe du Brigham and Women's Hospital (BWH à Boston) révèle que les hommes plus âgés qui consomment plus de protéines que recommandé ne bénéficient d'aucune augmentation de la masse maigre, de la performance musculaire, de la fonction physique ou d'autres mesures de bien-être.
Certes, l’apport de glucides doit être limité pour éviter le surpoids ou l'obésité, mais doit-on dans le cadre d’un régime à indice glycémique faible éviter totalement les pâtes ? Cette étude d’une équipe de nutritionnistes de l’Hôpital St. Michael (Toronto), suggère au contraire que les pâtes peuvent faire partie d'une alimentation saine. Des conclusions présentées dans le British Medical Journal Open qui font valoir que contrairement à la plupart des glucides « raffinés », qui sont rapidement absorbés dans la circulation sanguine, les pâtes ont un faible indice glycémique (IG), ce qui signifie qu'elles entraînent des augmentations plus faibles du taux de sucre dans le sang que celles causées par les aliments à indice glycémique élevé.
On ne compte plus les études favorables, ni les bénéfices documentés du régime méditerranéen pour la santé, au point, que sauf cas particulier, l’adhésion au régime méditerranéen pourrait être considérée comme une des mesures de base d’un mode de vie sain. Cette série de 6 articles publiés dans les Journals of Gerontology, Série A identifie encore de nouvelles corrélations entre un régime méditerranéen et les avantages d’un vieillissement en bonne santé.
Ce complément alimentaire, le nicotinomide riboside, imite la restriction calorique et stimule la santé artérielle, démontre cette étude de l’Université du Colorado à Boulder. De plus, en augmentant de 60% les taux d'un autre composé nécessaire à l'activation des enzymes sirtuines, il favorise le vieillissement en bonne santé. Des données présentées dans Nature Communications qui vont être validées par un essai clinique élargi.
On sait bien que l'obésité est associée à un risque accru et de décès des cancers de l’ovaire, du foie, de la vésicule biliaire, du rein, côlon, pancréas, gastrique, œsophagien (adénocarcinome), endomètre, thyroïde, myélome et méningiome ainsi qu’à à la progression du cancer de la prostate. On sait aussi que des changements de mode de vie et en particulier de régime alimentaire peuvent contribuer à réduire l'incidence et la progression des cancers liés à l'obésité.
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