Ce nouveau code-barres ADN, qui identifie tous les aliments végétaux qu’une personne a mangés, a des implications considérables pour les essais cliniques, les études nutritionnelles et les diagnostics. Cette nouvelle technologie, développée à l’Université Duke (Caroline du Nord) et documentée dans les Actes de l’Académie des Sciences américaine (PNAS), va en effet permettre de réduire les biais liés aux données autodéclarées utilisées dans la majorité des études nutritionnelles.
La consommation d’oméga-3 permet de ralentir la progression de la sclérose latérale amyotrophique (SLA), confirme cette équipe de la Harvard T.H. Chan School of Public Health (Boston) qui réaffirme ainsi les bénéfices de ces acides gras, en particulier de l’acide alpha-linolénique (ALA), un nutriment présent dans les graines de lin, les noix et les huiles de chia, de canola et de soja.
Limiter le nombre de repas de la journée peut contribuer à prévenir le diabète de type 2 et l’obésité. Cette forme de jeune intermittent ou de limitation de la prise alimentaire à une plage déterminée de la journée, optimise aussi la santé intestinale, conclut cette équipe de nutritionnistes de l’Université de Géorgie (UGA). Cet examen de la littérature, publié dans la revue Nutrients, insiste non seulement sur les bénéfices métaboliques de l’alimentation limitée dans le temps, mais conseille également l’arrêt des collations de fin de soirée.
Prendre ses repas plus tôt dans la journée, améliore la santé métabolique, explique cette équipe de la NYU Langone Health / École de médecine NYU Grossman qui propose comme intervention diététique et lors du Congrès Endo 2023, un mode « d’alimentation précoce à durée limitée » (eTRF : Early time-restricted feeding) avec des effets très bénéfiques : l’eTRF améliore la glycémie et les marqueurs inflammatoires, et même en l’absence de perte de poids.
Les régimes végétariens -et végétaliens- sont liés à des niveaux inférieurs de cholestérol et de graisses dans le sang, rappelle cette méta-analyse danoise des données d’essais randomisés publiés depuis 1982. Ainsi, ces experts confirment, dans l’European Heart Journal que ces régimes « à base de plantes » pourraient jouer un rôle clé dans la prévention de l’athérosclérose, voire même en cas d’artères déjà obstruées.
Cette étude menée par une équipe de l’Université de Pittsburgh pourrait permettre d’expliquer pourquoi les régimes riches en sucre peuvent aggraver la maladie inflammatoire chronique de l’intestin (MICI). Ces travaux, publiés dans la revue Cellular and Molecular Gastroenterology and Hepatology, décryptent pour la première fois, comment l’excès de sucre entrave les cellules qui renouvellent la muqueuse du côlon.
La démonstration apportée chez un modèle animal de MICI permet également d’espérer qu’une limitation de l’apport d’aliments sucrés pourrait permettre d’atténuer les symptômes des patients.
En suggérant que le jeûne intermittent et une restriction alimentaire « traditionnelle » entraînent pratiquement les mêmes effets de perte de poids corporel, ce nouvel essai clinique mené à l’Université de l’Illinois (Chicago) apporte à la preuve d’efficacité du jeûne intermittent, avec un effet privation moindre mieux acceptable. Au-delà, ces données, publiées dans les Annals of Internal Medicine, révèlent que cette forme d’alimentation limitée dans le temps permet aussi d’améliorer la sensibilité à l’insuline chez des personnes souffrant d’obésité.
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