Cette équipe de neuroscientifiques de l'Université du Queensland révèle comment une carence en vitamine D affecte, in utero déjà, les neurones en développement, participant au risque de schizophrénie, plus tard dans la vie. Cette découverte, documentée dans le Journal of Neurochemistry, non seulement apporte une meilleure compréhension de changements fonctionnels qui se produisent très tôt dans le cerveau, mais appelle aussi à trouver le moyen de cibler ces altérations précoces de la fonction des neurones dopaminergiques.
Les futures mamans doivent-elles manger pour 2 ? Cette méta-analyse d'études répond en « renvoyant » les femmes enceintes qui pensent rencontrer des troubles de l’alimentation, vers des professionnels de la nutrition. Cet examen de la littérature, mené à l’University of Birmingham et publié dans le JAMA Network Open confirme que le conseil de professionnels nutritionnistes-diététiciens est en effet tout à fait efficace à contrôler la prise de poids prénatale.
Déjà connu pour influer sur l’humeur et réduire les symptômes dépressifs, le magnésium est ici documenté pour, à dose plus élevée, maintenir la démence à distance. L’équipe de l’Australian National University (ANU), développe dans l’European Journal of Nutrition, les avantages des apports de magnésium dans notre alimentation quotidienne, sur la santé cérébrale et tout particulièrement au cours du vieillissement.
On pense que la prévalence de la démence devrait plus que doubler, passant de 57,4 millions en 2019 à 152,8 millions en 2050, avec pour conséquence, au-delà de l’humain, une pression accrue sur les services sociaux et de santé et sur l'économie mondiale.
On sait qu'une consommation excessive de sel est liée à l'hypertension artérielle (HTA) mais son association avec la cognition est beaucoup moins bien connue. Cette équipe japonaise de l’Université Fujita identifie ici 2 systèmes physiologiques clés liés à des apports excessifs, dont un impliqué dans l’HTA et l’autre dans le développement de troubles cognitifs et émotionnels. Ces nouvelles données présentées dans le British Journal of Pharmacology, soutiennent une nouvelle motivation à limiter le sel ajouté.
Ces nutritionnistes de l’Université Edith Cowan (Australie) décrivent ces composés présents au naturel dans certains aliments comme la salade, la betterave, le céleri, mais aussi dans le fromage, la volaille, le bœuf et le poisson, comme les « Dr. Jekyll and Mr. Hyde » de la santé humaine. Pour cause, les nitrates sont à la fois documentés comme bénéfiques pour la santé cardiovasculaire mais aussi comme facteurs de risque de cancer.
Un seul repas pourrait faire la différence dans le contrôle glycémique : réduire les glucides du petit-déjeuner peut être bénéfique toute la journée pour les personnes atteintes de diabète de type 2, conclut cette équipe de l’Université de la Colombie-Britannique (Okanagan, UCBO, Canada). Alors que l’une des principales difficultés pour les personnes vivant avec un diabète de type 2 est l’augmentation rapide ou importante de la glycémie après le repas, l’étude, publiée dans l’American Journal of Clinical Nutrition, indique qu’un petit-déjeuner pauvre en glucides, à la première heure du matin, semble permettre de mieux contrôler la glycémie tout au long de la journée.
Une meilleure alimentation pourrait-elle rajeunir votre cerveau ? Ces scientifiques de l’Université Ben Gourion du Néguev (Israël) répondent par l’affirmative. Ils publient dans la revue eLife les résultats d’un essai de régime à long terme qui confirme ses effets positifs sur la santé du cerveau. Il s’agit à nouveau, et sans surprise, d’un type de régime méditerranéen, un régime méditerranéen vert, qui à la perte de poids corporel associe une réduction du vieillissement cérébral.
Nestlé HomeCare place le patient au centre de ses préoccupations !
> EN SAVOIR PLUS |
|
Nestlé HomeCare signataire de la charte patient (FFAAIR)Le respect de cette charte montre l’implication de Nestlé HomeCare pour mettre en œuvre des prestations de qualité. > EN SAVOIR PLUS |