Comprendre les mécanismes spécifiques par lesquels la carence en zinc contribue à la dysrégulation de la pression artérielle pourrait avoir des conséquences importantes sur le traitement de l'hypertension chronique. Cette étude de la Wright State University contribue à cette compréhension en documentant le rôle du zinc dans de développement de l'hypertension artérielle (HTA). Des travaux présentés dans l’American Journal of Physiology qui révèlent ainsi un lien entre le zinc, la pression artérielle et le transporteur de sodium dans le rein.
On sait, par exemple, que les personnes souffrant de troubles du système endocrinien ou de troubles métaboliques sont plus susceptibles de développer la maladie d'Alzheimer. Ce lien plutôt inattendu trouvé entre les zones du cerveau régulant l'alimentation et de la mémoire, identifié par cette équipe du Collège de médecine Baylor et documenté dans la revue Nature Neuroscience, a cependant des implications concrètes dans les relations entre les facteurs endocriniens, l'obésité et les troubles métaboliques et les dysfonctionnements cognitifs.
Les précédentes revues systématiques ou méta-analyses menées sur la relation entre la qualité des glucides et la santé, examinaient généralement un seul marqueur et un nombre limité de résultats cliniques. Ici, les chercheurs quantifient précisément le potentiel prédictif de plusieurs marqueurs, identifient ceux qui sont les plus utiles et apportent des preuves pour des recommandations concernant les apports en fibres alimentaires.
Au départ, la graisse viscérale nous protégeait contre la malnutrition et les infections. Cette analyse d’une équipe du Smithsonian Tropical Research Institute (Panama) confirme une hypothèse déjà documentée : les maladies associées à l'obésité dont le diabète de type 2 et les maladies cardiovasculaires sont particulièrement courantes chez les adultes souffrant d'obésité abdominale, en particulier en cas d’excès de graisse viscérale (VAT : visceral adipose tissue) mais aussi chez les sujets malnutris au stade fœtal -et dont l'apport nutritionnel va augmenter pour compenser plus tard dans la vie.
On sait que les omega-3 sont bénéfiques à la santé cognitive mais on ignore si à niveaux très élevés dans le cerveau, ils pourraient éradiquer les maladies neurodégénératives et quels seraient alors leurs éventuels effets indésirables. D’autant que s’il existe des suppléments contenant ces acides gras, il existe peu de preuves montrant qu’ils permettent d’augmenter, en réalité, les acides DHA ou EPA dans le cerveau.
Des niveaux élevés de métabolites sanguins issus des œufs associés à un risque moins élevé de diabète de type 2 ? C’est la conclusion de cette recherche de l’University of Eastern Finland qui semble suggérer un bénéfice antidiabétique avec la consommation d’un œuf par jour. Des données publiées dans la revue Molecular Nutrition and Food Research qui viennent alimenter le débat sur les propriétés néfastes ou bénéfiques des œufs.
Pourquoi les patients atteints du syndrome métabolique on-ilst besoin de plus de vitamine C ? Pour lutter contre l'épuisement des antioxydants, révèle cette étude de l’Oregon State University (OSU). Une conclusion documentée dans la revue Redox Biology et des conseils précieux pour les près de 35% de personnes, vivant dans les pays riches et atteintes de ce syndrome.
L’auteur principal, le Dr Maret Traber, professeur à l'OSU renouvelle cette recommandation bien connue : « Mangez de 5 à 10 portions de fruits et légumes par jour, vous obtiendrez des fibres, de la vitamine C et vous protégerez vraiment votre intestin et votre santé métabolique ».
Au cours du repas, votre cerveau vous remercie deux fois : quand vous mangez et quand les aliments atteignent votre estomac. Cette recherche menée par PET scan chez des humains par une équipe de l'Institut Max Planck (Allemagne) suggère en effet une double libération de dopamine dans le cerveau durant la collation. Cette étude, présentée dans la revue Cell Metabolism, conclut que la suppression de la libération de dopamine induite par les intestins pourrait entraîner une suralimentation d’aliments désirés, comme de junk food en particulier.
La connaissance de l’apport calorique associé aux aliments peut induire le cerveau à revoir « ses » choix alimentaires, conclut cette équipe du Collège de Dartmouth (New Hampshire). Des conclusions présentées dans la revue PLoS ONE qui incitent simplement à mieux informer les consommateurs des calories apportées par chaque aliment : leur cerveau les trouvera spontanément moins désirables : l’éducation nutritionnelle passe par la teneur en calories.
Il existe une interaction bénéfique entre les statines, destinées à réduire le taux de cholestérol, et l’adhésion à un régime alimentaire de type méditerranéen, révèle cette étude de l’Istituto Neurologico Mediterraneo Neuromed (I.R.C.C.S.- Italie), et cette interaction converge vers l’objectif recherché, la réduction du risque de récidive de crise cardiaque ou d'accident vasculaire cérébral (AVC). Des données présentées dans l’International Journal Cardiology qui rappellent simplement que la première mesure de prévention du risque cardiaque est d’opter pour un mode de vie sain.
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