Le Fonds mondial de recherche contre le cancer et l’Institut américain de recherche sur le cancer ont estimé que dans les pays développés, environ 35% des cancers du sein et 45% des cancers colorectaux pourraient être évités grâce à une meilleure observance des recommandations nutritionnelles. Cette nouvelle analyse de données de notre cohorte française NutriNet Santé qui nous est proposée dans la revue Cancer Research, confirme la force de la relation déjà très documentée, entre alimentation et risque de cancer.
Le régime alimentaire a un impact plus important sur le bien-être émotionnel chez les femmes que chez les hommes, souligne cette étude de l’Université de Binghamton (New York), ce qui implique, en pratique, que les femmes pourraient avoir besoin d'un régime alimentaire plus riche en nutriments pour soutenir un bien-être émotionnel positif. Des conclusions présentées dans la revue Nutritional Neuroscience qui peuvent également contribuer à expliquer pourquoi les femmes sont deux fois plus susceptibles d’être anxieuses et dépressives et sur des épisodes plus longs, comparé aux hommes.
Les gènes ne sont pas à blâmer, du moins il n’existe aucune preuve de leur influence significative sur la prise alimentaire et le risque de surpoids ou d’obésité, conclut cette revue et analyse systématique menée par une équipe de l’Université technique de Munich (TUM). Certes des gènes ont été identifiés pour leur influence sur la faim et la satiété, tels que FTO associé à une moindre prise alimentaire et MC4R associé à une augmentation de l'apport énergétique, mais leur impact reste, selon cette analyse, très modeste en regard des facteurs de mode de vie.
Consommer du lait au petit-déjeuner, permet de réduire sa glycémie tout au long de la journée, conclut cette étude canadienne, présentée dans le Journal of Dairy Science®. L’équipe, qui décrypte les effets de liés à la composition et la concentration protéique du lait, conclut qu’un simple changement dans la routine du petit-déjeuner pourrait parfois être bénéfique pour la prise en charge du diabète de type 2.
Une étude publiée dans Nutrients, par l’équipe de Recherche en Epidémiologie Nutritionnelle (EREN) Inserm / Inra / Cnam / Université Paris 13 montre que le logo d’information nutritionnelle proposé par un consortium de 6 industries agro-alimentaires (l’Evolved Nutrition Label) n’a qu’un effet très limité voire défavorable chez les consommateurs sur les tailles de portions sélectionnées pour des aliments considérés comme moins favorables à la santé.
Consommer des aliments riches en fibres peut permettre de bloquer une grande partie des effets du stress, sur notre intestin comme sur notre comportement, révèle cette étude présentée dans le Journal of Physiology. Des conclusions qui contribuent à répondre à l’intérêt croissant pour ce lien entre le microbiote et les troubles liés au stress, dont l'anxiété, la dépression et le syndrome du côlon irritable.
Si elle dispose d’un terme savant, « l’halitose », ou plus simplement la mauvaise haleine, une affection pour les uns ou une nuisance pour les autres, est fréquente puisqu’on estime qu’elle est rencontrée chez environ une personne sur deux. Cette étude de l’Université technique de Munich (TUM) a peut-être enfin trouvé la solution : le gingérol ou [6]-gingérol, un composant piquant du gingembre, qui stimule une enzyme contenue dans la salive qui décompose les substances nauséabondes.
Cette équipe de l'Université de Pennsylvanie montre que le foie pourrait contribuer au risque d'Alzheimer en ne fournissant plus des lipides clés et nécessaires au cerveau, les plasmalogènes dont des niveaux trop réduits sont déjà documentés comme associés à un risque accru de maladie d'Alzheimer. Des conclusions présentées lors de la conférence internationale de l'Association Alzheimer AAIC.
Les plasmalogènes sont des lipides créés dans le foie et dispersés dans le sang sous forme de lipoprotéines, qui transportent également le cholestérol et d'autres lipides vers et à partir des cellules et des tissus, dans tout le corps y compris le cerveau.
Les rhumatismes, une des pathologies les plus fréquentes, touchent plus de 20 millions de concitoyens en France 1. L’obésité est aussi un fléau très fréquent en France, qui concerne plus de 17 % des adultes 2, avec un impact certain sur les rhumatismes. En effet, une des causes et conséquences les plus fréquentes d’arthrose est clairement le surpoids. D’ailleurs, la perte de poids fait partie de sa prise de sa charge.
On sait déjà que les acides gras oméga-3 améliorent la santé cérébrale chez les enfants et les adultes, cette recherche de l’Université du Massachusetts Lowell illustre avec une supplémentation en omega-3, le moyen par le biais de l’alimentation, de prévenir les comportements négatifs, agressifs, voire « criminels ». Une étude présentée dans la revue Aggressive Behaviour qui contribue à éclairer l’interaction complexe de la biologie et de l'environnement social sur l’humeur et le comportement.
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