Le lien entre l’alimentation et les allergies est indiscutable, cette étude de l’Université Johns Hopkins précise ici les effets opposés des acides gras oméga-3 et oméga-6 sur les symptômes de l'asthme chez l'enfant. Ainsi, les enfants dont le régime alimentaire est riche en oméga-3 souffrent d'une forme d’asthme généralement moins sévère. Des données présentées dans l’American Journal of Respiratory and Critical Care Medicine qui suggèrent que si la relation de cause à effet entre l'alimentation et l'asthme était confirmée, une alimentation plus saine pourrait protéger les enfants asthmatiques, en particulier contre certains des effets nocifs de la pollution.
L'alimentation maternelle pendant la grossesse peut permettre de réduire le risque de symptômes du trouble du déficit de l’attention avec hyperactivité (TDAH) chez les enfants à naître, conclut cette recherche du Barcelona Institute for Global Health (ISGlobal). L’étude, présentée dans le Journal of Pediatrics révèle ainsi une association entre le ratio omega-6/omega-3 (ici dans le cordon ombilical) et l'apparition de ces symptômes de TDAH.
Risque cardiaque, pulmonaire, rénal, de cancers et accélération du vieillissement, ces effets néfastes d’une consommation trop régulière ou excessive de viande rouge et de produits à base de viande transformée ont largement été documentés. Cette étude de la Loma Linda University (Californie) va plus loin en montrant que consommer même de petites quantités de viande rouge et transformée peut augmenter le risque de décès, notamment de causes cardiovasculaires.
Cette recherche de l’Université de Californie San Francisco montre que les patients atteints de d'une maladie artérielle périphérique (MAP), présentent également de faibles niveaux sanguins d'oméga-3. Des conclusions présentées dans la revue Lipids qui suggèrent qu’une supplémentation en oméga-3 pourrait réduire le risque de MAP.
La maladie artérielle périphérique affecte les vaisseaux sanguins à l'extérieur du cœur et du cerveau. De précédentes études ont déjà suggéré que les oméga-3 affectent de nombreuses étapes du processus athérosclérotique.
Cette étude du Weil Cornell Medicine (New York) suggère que consommer l'équivalent d'une canette de soda par jour ou son apport en fructose, induit le développement de tumeurs plus grosses chez les souris prédisposées au cancer du côlon. L’étude publiée dans la revue Science, montre comment le sirop de maïs à haute teneur en fructose alimente la croissance des tumeurs du côlon chez ces souris, et identifie une stratégie possible pour bloquer cette croissance tumorale.
Des composés du café qui peuvent inhiber le cancer de la prostate ? Pour la première fois, des scientifiques identifient in vitro et in vivo, en effet, des composés présents dans le café qui inhibent la croissance du cancer de la prostate. Ces travaux, présentés dans la revue The Prostate et présentés au Congrès de l'Association européenne d'urologie (Barcelone), appellent déjà à des tests plus avancés, sur des xénogreffes, par exemple, dérivées de patients exprimant le récepteur aux androgènes.
Les boissons sucrées sont associées à un risque accru de décès par maladie cardiovasculaire, rappelle cette étude de la Harvard T.H. Chan School of Public Health (Boston) et, mais dans une moindre mesure, à un risque accru de certains cancers. Des données présentées dans la revue Circulation de l’American Heart Association, qui engagent tout simplement à « boire de l'eau à la place des boissons sucrées » pour optimiser sa durée de vie en bonne santé.
Plus de vitamine D peut améliorer la mémoire, mais trop peut ralentir le temps de réaction, conclut cette étude de l’Université Rutgers (New Jersey), menée auprès de femmes ménopausées. Des risques et des avantages précisés dans les Journals of Gerontology, tout dépend donc de la dose…
La vitamine D joue un rôle clé dans santé des os. Elle est obtenue par l'exposition au soleil et par l’apport de certains aliments.
Cette recherche de l’Université de l'Illinois à Urbana-Champaign révèle que les acides gras libres dans le sang sont liés à des taux plus élevés de cancer du sein à récepteurs d'œstrogènes positifs chez les femmes ménopausées obèses. En d’autres termes, les acides gras libres dans le sang semblent stimuler la prolifération et la croissance des cellules cancéreuses du sein. Une découverte documentée dans Cancer Research qui contribue à expliquer le risque élevé de cancer du sein chez les femmes obèses, en particulier après la ménopause.
Cette étude d’une équipe de l’Ohio State University ajoute un nouveau bénéfice à la consommation de thé vert : le thé vert permet de réduire l'obésité et un certain nombre de biomarqueurs inflammatoires liés à une mauvaise santé. Des données présentées dans le Journal of Nutritional Biochemistry, déjà en cours de validation par une étude de suivi chez l’Homme
L’étude montre que des souris nourries avec un régime alimentaire contenant 2% d'extrait de thé vert se comportent mieux, une découverte qui a incité les chercheurs, à l’issue de cette étude chez l’animal, à regarder de plus près les bénéfices possibles du thé vert chez les personnes à risque élevé de diabète et de maladies cardiaques.
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