La vitamine D et l'estradiol contribuent à prévenir les maladies cardiaques, les accidents vasculaires cérébraux (AVC) et le diabète, chez les femmes ménopausées, conclut cette étude chinoise. L'étude démontre aussi, dans la revue Menopause, les effets synergiques de carences en vitamine D et en estradiol sur le développement du syndrome métabolique.
De précédentes études ont déjà fait valoir le rôle clé de vitamine D et les œstrogènes dans la santé osseuse, chez les femmes.
Une alimentation unique idéale pouvant convenir à tout le monde, ça n'existe pas : si cette affirmation peut sembler évidente, cette étude le démontre. Elle révèle que même des jumeaux identiques réagissent différemment aux aliments. Ces données qui plaident pour un régime alimentaire personnalisé viennent d’être présentées aux conférences de l'American Society of Nutrition et de l'American Diabetes Association.
C’est la plus grande étude scientifique sur la nutrition en son genre, dirigée par une équipe internationale de scientifiques de premier plan, notamment des chercheurs du King's College de Londres, du Massachusetts General Hospital et de la société de science nutritionnelle ZOE.
Face aux risques pour la santé déjà associés à la consommation excessive de viande rouge, de nombreuses personnes réduisent leur consommation et se tournent plutôt vers la viande blanche, bien moins documentée. Cette étude de l’Université de Californie – San Francisco nous apporte de précieuses données qui révèlent que les viandes rouges et blanches sont tout aussi nocives pour le cholestérol LDL.
Cette mutation génétique qui évolue pour aider l’organisme à mieux faire face à nos régimes alimentaires modernes, riches en sucre, et finalement nous protège contre le diabète, c’est la révélation de cette équipe de l’University College London. Ces travaux, présentés dans la revue eLife décrivent l’évolution de la protéine CHC22, régulatrice du transporteur de glucose, et nous apportent un exemple de l'impact de l'alimentation sur notre évolution génétique.
Le café n'est pas aussi mauvais pour le cœur et le système circulatoire qu'on le pensait, conclut cette équipe de l’Université Queen Mary de Londres, présentée à la British Cardiovascular Society Annual Conference. Cette large recherche révèle que boire du café, y compris jusqu’à 25 tasses par jour, n’est pas associé à des artères plus rigides.
Les artères transportent le sang contenant de l'oxygène et des nutriments du cœur au reste du corps, rappelle l’auteur principal, le professeur Steffen Petersen, de la Queen Mary.
Dans les pays riches, environ une personne sur 2 prend au moins une vitamine ou un supplément diététique / nutritionnel par jour. « Save your money ! », recommandent ces chercheurs de la Johns Hopkins Medicine qui évaluent ici l’efficacité d’un grand nombre de vitamines et compléments alimentaires pour la santé cardiaque et la longévité en bonne santé. Cette méta-analyse massive des résultats de 277 essais cliniques portant sur 24 interventions différentes révèle en effet l’absence de preuves d’efficacité de presque tous les compléments dont vitamines, minéraux et autres nutriments sur la longévité en bonne santé ou la protection contre les maladies cardiaques.
L'apport de myrtilles et autres baies devraient être inclus dans les stratégies alimentaires de prévention du risque de maladie cardiovasculaire. Car consommer des myrtilles tous les jours améliore significativement la santé cardiaque, constate cette équipe de l’Université d'East Anglia (UK) et de Harvard. La consommation de 150 g de myrtilles par jour réduit ainsi de 15% le risque de maladie cardiovasculaire.
Le public devrait être conscient de l'impact des boissons énergisantes sur le corps, en particulier en cas d'autres problèmes de santé, souligne cette étude de la Long School of Pharmacy and Health Sciences (Calfornie). Les professionnels de la santé devraient conseiller à certains groupes de patients, en particulier à ceux qui sont atteints d’un syndrome du QT long (ou syndrome du cœur fragile) ou d'hypertension, de limiter ou de surveiller leur consommation.
Ces travaux d’une équipe de l’Université de Princeton dévoilent un nouveau mécanisme par lequel une enzyme de l'horloge circadienne, Nocturnine, interagit avec sa cible, NADPH, pour affecter la régulation de l'énergie et les fonctions métaboliques. Ce mécanisme documenté dans Nature Communications ouvre une nouvelle réflexion sur le sommeil, le stress oxydatif et le métabolisme, et va « servir de tremplin vers la recherche de meilleurs traitements pour les maladies métaboliques ».
Cette équipe de l’Université Saint Louis étudie les liens hormonaux entre régime alimentaire et obésité et montre qu’une hormone régie par l’horloge biologique est liée à la prise de poids et à des troubles métaboliques. Cette démonstration présentée dans le Journal of Biological Chemistry (JBC) est réalisée chez les singes mâles nourris avec un régime riche en sucre.
L’obésité est une véritable « crise » en Santé publique qui entraîne de nombreux facteurs de risque sévères ou comorbidités, dont les maladies cardiovasculaires et le diabète de type 2.
Nestlé HomeCare place le patient au centre de ses préoccupations !
> EN SAVOIR PLUS |
|
Nestlé HomeCare signataire de la charte patient (FFAAIR)Le respect de cette charte montre l’implication de Nestlé HomeCare pour mettre en œuvre des prestations de qualité. > EN SAVOIR PLUS |