Une pomme comporte environ 100 millions de bactéries dont la plupart sont à l’intérieur du fruit. Et les souches présentes dépendent du type de morceau que vous mangez ! En plus des fibres, de ses flavonoïdes et de sa saveur, la pomme nous apporte donc ses bactéries. « Est-ce une bonne chose ? », s’interroge cette équipe dans la revue Frontiers in Microbiology.
Cette étude de l'Université de Louisiane confirme que les stratégies de planification des repas, dont notamment le jeûne intermittent ou l’alimentation plus tôt dans la journée semblent avoir un effet de réduction de l'appétit et d’amélioration de la combustion des graisses. Ces données, publiées dans la revue Obesity, pourraient aider les personnes qui cherchent à perdre du poids par une meilleure maîtrise de l’appétit plutôt que par la pratique de plus d’exercice et l’élimination d’un plus grand nombre de calories.
De nombreux bénéfices de la consommation de lait et de produits laitiers sont bien documentés, cette revue systématique de l’Université de Grenade confirme leur rôle clé dans la prévention des maladies chroniques. Une analyse présentée dans la revue Advances in Nutrition qui élargit considérablement le spectre de ces bénéfices, de la naissance au grand âge.
Cette revue avait pour objectif d’évaluer et de faire la synthèse des preuves scientifiques concernant l’effet de la consommation de lait et de produits laitiers sur la santé et la prévention de diverses maladies chroniques et de la mortalité toutes causes confondues, aux différentes étapes du cycle de vie.
La nutrition est probablement l'ingrédient manquant dans les soins et le maintien à domicile (MAD) des patients, révèle cette étude. Accorder de l’importance voire la priorité aux soins nutritionnels pour les patients à domicile permet de les garder hors de l'hôpital, confirment ces conclusions, présentées dans le Journal of Parenteral and Enteral Nutrition.
1 patient sur 3 à domicile est exposé à un risque de malnutrition, ce qui peut avoir un impact sur son rétablissement ou entraîner d'autres problèmes de santé.
Un régime à base de plantes peut permettre la rémission de la maladie de Crohn, révèle cette étude de cas, publiée dans la revue Nutrients. Ce suivi d’un patient, un homme âgé d'une vingtaine d'années, diagnostiqué avec la maladie après avoir souffert de fatigue, de ballonnements, de douleurs abdominales, de nausées et d'ulcères occasionnels pendant plusieurs années, montre que l’éviction, dans l’alimentation de tous les produits d'origine animale a conduit, en 40 jours, à une absence totale de symptômes.
Cette étude d’une équipe de la Clinique Mayo révèle que les carences en micronutriments sont courantes au moment du diagnostic de la maladie cœliaque. Présentés dans les Mayo Clinic Proceedings, ces travaux suggèrent d’identifier et de corriger ces déficiences pour soulager les symptômes de la maladie.
La maladie cœliaque est une réaction immunitaire à la consommation de gluten, une protéine présente dans le blé, l’orge et le seigle.
Les phénols présents dans les coques de fèves de cacao pourraient inverser les effets cellulaires néfastes de l'obésité. C’est la démonstration de cette équipe Université de l'Illinois, sur des cellules de souris. 3 composés bioactifs que l'on trouve également dans le cacao, le café et le thé apparaissent ainsi bénéfiques aux cellules adipeuses et immunitaires, inversant l'inflammation chronique et la résistance à l'insuline associées à l'obésité.
Un apport protéique adéquat est associé à un risque de fragilité réduit, rappelle cette étude de l'Université de Finlande orientale et de l'hôpital universitaire de Kuopio, en particulier chez les femmes âgées. Cet apport protéique adéquat est défini à au moins 1,1 g par kg de poids corporel et par jour. Ces données, publiées dans l’European Journal of Nutrition, rappellent également qu’à tout âge, un apport suffisant en protéines est essentiel pour la santé musculaire.
« Les enfants devraient manger de tout ». La néophobie alimentaire, ou la crainte de nouveaux aliments, peut nuire à la qualité de l'alimentation, augmenter les facteurs de risque associés aux maladies chroniques dont les maladies cardiovasculaires et le diabète de type 2. Les conclusions de cette étude du Finnish National Institute for Health and Welfare et des universités d’Helsinki (Finlande) et de Tartu (Estonie) rappellent que la diversité alimentaire est en soi une excellente prévention à l'excès de graisses saturées et de sucre et donc un rempart contre les troubles métaboliques.
La vitamine K, -« vitamine de la coagulation »- est liée, avec cette étude de la Tufts University (Massachusetts) à la mobilité et, en cas de carence, à l'invalidité : Des données présentées dans les Journals of Gerontology qui alertent sur la carence en vitamine K chez les personnes âgées.
L’étude identifie ainsi, pour la première fois, les niveaux de vitamine K circulante comme un nouveau facteur à prendre en compte pour maintenir la mobilité et l’autonomie des personnes âgées.
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