En 2030, 9 hommes sur 10 seront en surpoids ou obèses en Irlande ; à partir de l’âge de 40 ans, les adultes européens prennent en moyenne 1 kilo par an ; Ces quelques repères nous sont apportés par cet abstract du Congrès EuroPRevent 2014. Une étude qui estime la prévalence de l'obésité dans 53 pays européens d'ici à 2030, prévoit une véritable submersion par les maladies non transmissibles déjà principales causes de décès en Europe.
Des sociétés savantes, des associations de professionnels de santé et de la nutrition, d’acteurs de terrain, de consommateurs et de patients s’associent pour lancer une grande pétition citoyenne pour que soit mis en place un étiquetage nutritionnel simple, intuitif et compréhensible par tous sur la face avant des emballages des aliments. Une étape indispensable dans la lutte contre l’obésité et ses comorbidités.
Les enfants qui, à la petite enfance, dorment moins que le nombre d’heures recommandées voient leur « adiposité » globale ou graisse corporelle augmenter dès l’âge de 7 ans, révèle cette étude menée par des chercheurs du Massachusetts General Hospital, dépendant de la Harvard Medical School. Ces conclusions, publiées dans l’édition de juin de la revue Pediatrics, apportent des preuves convaincantes sur le lien entre un sommeil insuffisant et l'obésité infantile et cela quelle que soit la période de la petite enfance mais montre également, sur plus de 1.000 enfants, qu'un enfant sur 3 environ, ne dort pas suffisamment.
L’absence de surpoids pour un enfant, ne signifie pas obligatoirement une bonne composition corporelle. Cette étude « FitKids » de l’Université de l'Illinois montre que les enfants qui pratiquent une activité physique ont, entre autres bénéfices, une meilleure distribution de leur graisse corporelle -indépendamment de leur poids- et en particulier moins de graisse abdominale, un facteur de risque de diabète et de maladies cardiaques plus tard dans la vie.
Inutile de redémontrer que l’adiposité et un IMC trop élevé à l'âge adulte favorise le risque cardiaque plus tard dans la vie, dont l’athérosclérose, l’hypertension artérielle et le diabète. Il reste à démontrer que perdre un excès de poids ou de la graisse corporelle peut favoriser l’effet iverse. C’est chose faite avec cette étude publiée dans le Lancet Diabetes & Endocrinology qui montre qu’à tout âge, les adultes qui perdent du poids vont améliorer leur santé cardiovasculaire.
Cette étude de la Columbia montre comment FTO, un gène couramment associé à l'obésité, contribue au gain de poids. Les variations de ce gène affectent indirectement la fonction du cil primaire ou antenne sortant de la membrane de certaines cellules du cerveau et autres cellules ce qui affecte les récepteurs de la leptine, l’hormone de la satiété. Cette étude explique ainsi comment le gène de l'obésité contribue à la prise de poids.
Décidément, le bol de céréales du petit déjeuner, le sandwich ou la salade de midi et l’excès de viande du soir n’assurent pas l’environnement métabolique idéal pour la santé du muscle. Alors que la consommation de protéines est fréquemment concentrée au dîner, au lieu d'être uniformément répartie dans la journée, cette étude de l’Université du Texas, publiée dans le Journal of Nutrition, plaide pour une meilleure répartition au fil de la journée.
Consommer des boissons light (ou « diététiques ») pourrait participer à la perte de poids, conclut cette étude de l’Université du Colorado. Ces boissons influeraient plus que l’eau sur la satiété, expliquent les auteurs qui publient ne favoriseraient pas une préférence pour les aliments et les boissons sucrées.
L'étude est financée par The American Beverage Association…qui représente l'industrie américaine des boissons non-alcooliques.
À l'heure actuelle, il n'existe aucun traitement efficace pour contrer la progression pathologique de la maladie d'Alzheimer, cependant des études ont suggéré l’incidence de facteurs environnementaux dont l’alimentation et certains nutriments : la choline notamment, une vitamine présente dans des aliments courants et connue pour son rôle clé dans différentes fonctions cellulaires est plébiscitée par ces travaux de l’Arizona State University.
Prise d’antibiotiques, travail de nuit ou par quart ou décalage horaire sont des situations fréquentes qui peuvent perturber les interactions entre le microbiote et l'horloge biologique ce qui peut accroître le risque de prise de poids et d’obésité. Au cœur de cet équilibre métabolique fragile régulé par ce couple microbiote et horloge biologique, une protéine bien spécifique lie le gain de poids aux bactéries intestinales.
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