Chez les hommes aussi, l'obésité et le diabète de type 2 sont impliqués dans le développement de la dysfonction des voies urinaires. Cette étude, menée à l’Université de Californie- San Francisco, ouvre une piste d’amélioration possible. Ses conclusions, publiées dans le Journal of Urology, suggèrent, qu’une intervention intensive sur le mode de vie, permet de réduire rapidement la prévalence de l’incontinence urinaire, chez des hommes diabétiques en surpoids ou obèses.
On mange moins en mangeant moins vite, à petites bouchées, mais aussi lorsque nous mâchons bien nos aliments. Savourer, prendre son temps et bien mâcher a son impact sur notre consommation globale, confirme cette étude américaine publiée dans le Journal of Consumer Research. Ainsi, les personnes qui perçoivent mieux la texture des aliments et prennent le temps de bien mâcher consomment moins de calories.
Opter pour des apports plus élevés de protéines au petit déjeuner peut apporter des bénéfices importants pour la santé, en particulier un meilleur contrôle de l'appétit et de la glycémie, suggère cette étude présentée à la Conférence de l’American Society for Nutrition's Experimental Biology. Cette étude, soutenue par Hillshire Brands, un des leaders mondiaux de l’industrie alimentaire, apporte néanmoins des précisions utiles sur les quantités optimales de protéines à consommer au petit déjeuner.
L’altitude, un facteur anti-obésité ? Non, ce serait le manque d'oxygène en altitude qui réduirait l’appétit, explique cette étude américaine qui constate, sur près de 100.000 militaires, que ceux affectés aux zones de haute altitude ont une tendance moindre au surpoids, que les troupes affectées à des zones de basses altitudes. Les conclusions, présentées dans la revue PLoS ONE, sont plus amusantes qu’utiles car, à part déménager vers les sommets…Cependant, elles posent la question des effets possibles de l’oxygène sur la variation de l'appétit.
Consommer du riz est associé à un meilleur équilibre alimentaire, à la perte de poids et, globalement, améliore les marqueurs de bonne santé, selon les conclusions d’une recherche, publiée dans la revue Food and Nutrition Sciences. Attention cette étude est co-financée par la Rice Foundation américaine, mais, menée auprès d'un échantillon de 14.386 adultes par une équipe du Baylor College of Medicine, ses conclusions fournissent des indications qui peuvent être prises en compte.
Ces hydrates de carbone fermentescibles, ou leur produit, l'acétate de cellulose, testés ici avec succès sur des souris, restent à tester chez l’Homme. Reste également à trouver une formulation riche en hydrates de carbone fermentescibles, sûre et acceptable car en trop grande quantité, ils peuvent entrainer la diarrhée, des ballonnements, des douleurs intestinales et des flatulences. Cependant, la piste, décrite dans la revue Nature Communications semble très prometteuse.
Si la chirurgie de l’obésité ou chirurgie bariatrique accumule les preuves de son efficacité contre le diabète, elle montre aussi ici, avec cette étude de l'Université de Floride du Sud (Tampa) son efficacité dans la stéatose hépatique non alcoolique. Ces conclusions, présentées à la Digestive Disease Week, montrent même une inversion de la fibrose du foie lorsqu’à stade précoce, l'épaississement et la cicatrisation des tissus hépatiques.
Être obèse à 25 ans augmente le risque d’obésité sévère à 35 ans certes. Mais, selon cette étude de l'Université de New York, c’est le poids en soi à 35 ans ou plus, plutôt que de la durée de l'obésité qui reste le meilleur indicateur du risque cardiovasculaire et métabolique. Ces données, publiées dans l’édition de juin de l'American Journal of Preventive Medicine, sont un encouragement à prévenir toute prise de poids supplémentaire, chez les jeunes déjà en surpoids.
Stigmatiser peut décourager tout effort « anti-obésité », rappelle, s’il le fallait, cette étude californienne (UCLA). Ses conclusions, publiées dans le Jama Pediatrics, qui semblent de bon sens, montrent que la stigmatisation va même favoriser, chez les jeunes filles, le développement de l’obésité. A 10 ans, « être traitée de grosse » par un parent ou un camarade, c’est un risque accru de 66% d’être obèse à 19 ans.
Tout est question de mesure, mais comme pour tout le monde, regarder la télévision pendant les repas, est déconseillé aux femmes enceintes, sous peine de prendre de mauvaises habitudes, ensuite pour l’alimentation de son enfant. Alors que le risque d’obésité pour l’enfant commence in utero en cas de prise de poids trop élevée de la mère, ses bonnes habitudes alimentaires se prennent aussi durant la grossesse de sa mère.
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