Cette étude de l’Université de l'Illinois met les choses au point en précisant les 3 facteurs majeurs de risque les plus fortement corrélés à l'obésité de l'enfant. Manque de sommeil, IMC des parents et, restriction alimentaire avec l’objectif inverse de contrôler le poids de l’enfant, sont identifiés comme les prédicteurs majeurs de l’obésité de l’enfant. Ces données, publiées dans la revue Childhood Obesity fournissent une toute nouvelle feuille de route pour l'élaboration d'interventions contre l’obésité chez l’Enfant.
Défini comme la conjonction de plusieurs facteurs de risque de diabète ou de maladie cardiovasculaire -dont l'obésité, l'hypertension, l'inflammation, la dyslipidémie, l'intolérance au glucose et l'insulino-résistance- le syndrome métabolique touche aujourd’hui près d’un adulte sur 3. Pourtant, seule une minorité de ces patients, même une fois ces facteurs diagnostiqués, adhèrent aux recommandations nutritionnelles. C’est la conclusion de cette étude de l’Université de Finlande orientale, certes basée sur des recommandations nutritionnelles « nordiques », mais sans doute généralisable à tous les patients souffrant ou ayant un risque accru de syndrome métabolique.
Succès de la large campagne contre l’obésité menée par Michelle Obama et du Plan Obésité américain? Ce rapport du Département américain de l’Agriculture montre une nette amélioration, entre 2005 et 2010 dans le mode d’alimentation des Américains. Ils mangent mieux et utilisent mieux l'information nutritionnelle disponible, contrôlent mieux leurs apports caloriques et leur équilibre nutritionnel et ils commencent à faire attention à leur poids.
Cette analyse qui porte sur près de 100.000 enfants suggère à nouveau une association entre les repas familiaux et une réduction du risque de surpoids chez l'enfant. Ainsi, une famille qui mange ensemble une cuisine familiale, pourrait rester mince ensemble. Cette étude, menée par des chercheurs de l'Université de l'Illinois, publiée dans le Journal of the Academy of Nutrition and Dietetics, qui a porté sur différents programmes alimentaires mis en place en structure d’accueil, confirme quelques règles précieuses à observer en famille.
Mis à l’index pour expliquer la montée de l’obésité, le fast-food est un peu dédouané par cette étude de l'Université de Caroline du Nord à Chapel Hill. Il est présenté ici comme la conséquence inévitable de l’absence d’éducation alimentaire et de règles diététiques au départ, au sein de la famille. L’étude, présentée dans l’American Journal of Clinical Nutrition appelle à des interventions ciblant les familles modestes qui n’ont pas toujours l'éducation, le choix et le temps d’une alimentation équilibrée.
Le régime cétogène largement utilisé pour traiter les patients atteints d'épilepsie en est un exemple flagrant, de ce lien entre le régime alimentaire, et donc le métabolisme et l’activité du cerveau. Ici, les chercheurs de l’Université Mc Gill (Canada) réhabilitent plus largement l’idée que cibler le métabolisme peut contribuer à contrôler ou à inhiber certains des processus cérébraux.
Toujours sur l'épilepsie, la même équipe avait déjà démontré que le sodium – le principal constituant chimique du sel de table – est le commutateur unique d'un important récepteur de neurotransmetteur du cerveau, le récepteur kaïnate, mis en cause dans de nombreuses affections, comme l'épilepsie et la douleur neuropathique.
Les personnes en surpoids et obèses consomment plus de boissons « light » mais ces boissons avec édulcorants artificiels feraient-elles grossir ? Cette vaste étude américaine portant sur plus de 23.000 adultes, publiée dans l’American Journal of Public Health, démontre que les boissons light ne sont pas associées, quel que soit le poids du consommateur, à une réduction de l’apport calorique.
Nouvelle remise en de cause de la responsabilité d’autrui et en particulier de celle des fast-foods dans l’épidémie galopante d’obésité. Est-ce vraiment la faute des autres, des industriels de l’agroalimentaire ou des politiques qui ne font pas la bonne prévention ? Cette recherche menée par 2 économistes américains révèle que la majorité d’entre nous pense que chacun est à blâmer pour son obésité et que les restaurants, chaines de distribution, producteurs ou politiques n’ont que peu de responsabilité.
Cette recherche sur des souris génétiquement modifiées pour devenir obèses et développer les caractéristiques du diabète, nourries en plus avec un régime riche en graisses, montre que les souris ayant reçu des airelles dans leur régime alimentaire ont pris bien moins de poids que les autres. Ces conclusions présentées dans le Journal of Nutrition and Metabolism suggèrent que ces baies sauvages les airelles bloquent totalement ou partiellement les effets métaboliques néfastes d'une alimentation riche en graisses.
Finie la chirurgie bariatrique ? Considérée comme un traitement de dernier recours en dépit des bénéfices évoqués, dont l’amélioration du diabète, la chirurgie de l’obésité pourrait laisser en partie, la place à ce ballon gastrique, nommé Obalon et conditionné sous forme de simple pilule à avaler. Une petite révolution thérapeutique, car le comprimé est déjà accessible, puisqu’autorisé en UE et prescrit au Royaume-Uni, et il contribue déjà à aider les personnes en surpoids à perdre du poids.
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