Question posée par ces chercheurs de l’Université de Liverpool qui suggèrent ici que les normes sociales influencent de manière significative les choix alimentaires. Les résultats de cette revue systématique de la littérature scientifique, publiés dans le Journal of the Academy of Nutrition and Dietetics, suggèrent que notre alimentation répond à des normes et que c'est une manière inconsciente aussi de manifester notre appartenance à un groupe social.
Ne faudrait-il pas mettre la planète (ou du moins une partie) au régime ? Plus d’une personne sur 3 dans le monde a dépassé la limite d’un IMC supérieur à 25, seuil au-delà duquel le surpoids s’installe. C’est la conclusion d’un groupe de réflexion britannique, l’Overseas Development Institute, qui confirme une forte hausse de l’incidence du surpoids, de 11% en moins de 30 ans et appelle à une stratégie de lutte internationale pour une alimentation équilibrée et contre l’obésité, du même type que celle mise en place pour le tabagisme.
Plus de 300 cas confirmés d’encéphalopathies subaiguës spongiformes transmissibles (ESST) humaines, pour ces années 2009 et 2010, en France métropolitaine et dans les départements et territoires d’outre-mer, c’est le bilan surprenant du Réseau national de surveillance des maladies de Creutzfeldt-Jakob (MJC), sur une maladie pas si rare que cela, fatale et difficile à détecter car de longue durée d’incubation, et sans aucune réaction inflammatoire ou immunitaire détectable.
Pourquoi est-il plus difficile de contrôler son poids avec l’âge et pourquoi vieillissement rime souvent avec adiposité, surpoids voire obésité ? Cette étude japonaise de l’Université de Shizuoka apporte pour la première fois une explication biologique de l'obésité liée à l'âge. L’échec ou la plus grande difficulté de la graisse brune à consumer de l’énergie. Ce processus, décrypté dans le Faseb Journal, semble une cible prometteuse de nouveaux traitements des maladies métaboliques.
C’est une des rares études à avoir suivi, sur une longue durée des personnes ayant suivi un régime pour perdre du poids et l’une des seules aussi à conclure que le maintien de la perte de poids est possible sur le long terme, mais à la condition, bien sûr, de respecter un certain nombre de mesures clés. Ce bilan, présenté dans l’édition de janvier 2014 de l’American Journal of Preventive Medicine, tient sans surprise en 4 mots, activité physique, régime à faible teneur en matières grasses auto-pesée et jamais d’excès.
Surpoids rime avec risque d’asthme, corticoïdes avec fragilité osseuse plus tard dans la vie selon cette étude menée à l'Université de Finlande orientale. Le surpoids et l'obésité sont ici confirmés comme des facteurs de risque importants pour la fonction pulmonaire chez les enfants d'âge scolaire, en particulier chez ceux ayant des antécédents de respiration sifflante au tout début de l'enfance. Autre conclusion, l'inhalation de corticostéroïdes pour l'asthme dans l'enfance peut entraîner une densité minérale osseuse réduite au début de l'adolescence.
Le microbiome humain composé de milliards de microbes vivant dans et sur notre corps, joue un rôle dans de nombreux processus fondamentaux. C’est un champ croissant de recherches. Ce nouveau rapport de l'American Academy of Microbiology nous apporte des réponses claires sur l’état de la science concernant son rôle dans la santé et, particulièrement dans l'obésité.
Un rapport basé sur les travaux de 13 des plus grands experts américains réunis pour élaborer des réponses claires aux FAQ sur le microbiome humain et son rôle dans la santé humaine :
• Qu'est-ce que le microbiome humain ?
Le thé, seconde boisson la plus consommée au monde après l'eau est utilisé depuis des milliers d'années pour ses vertus médicinales et ses bénéfices pour la santé. Cette équipe allemande de l’Université Schleswig-Holstein décrypte le processus d’un de ses effets bénéfiques, souvent documenté, sur la santé métabolique et contre le diabète et l’obésité. Au centre de ce processus, décrit dans la revue PLoS ONE, à nouveau une catéchine, l’Épigallocatéchine -3-gallate (EGCG), qui va inhiber une enzyme clé associé au développement du syndrome métabolique.
Cette recherche menée à l'Université de Loma Linda (Californie) publiée dans le Nutrition Journal suggère que consommer une moitié d'avocat au déjeuner contribue à une meilleure satiété et à moins de grignotage durant la journée. Un coupe-faim naturel intéressant pour les personnes en surpoids, si l’on en croit les résultats de cette étude de petite taille et certes cofinancée par le Hass Avocado Board un organisme dont la mission est bien de favoriser la consommation d’avocats.
Le café est-il déshydratant ou hydrate-t-il autant que l’eau ? Cette étude de l’Université de Birmingham suggère qu’une consommation modérée de café ne déshydrate pas. Ses conclusions, publiées dans la revue Plos One, suggèrent même une capacité d’hydratation similaire à celle de l’eau.
Les chercheurs expliquent en préambule que les études ont souvent suggéré que le café provoque la déshydratation et que sa consommation devrait être évitée ou réduite de manière significative à maintenir l'équilibre hydrique.
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