Le lien entre la consommation de graisses saturées et le risque de maladie cardiovasculaire reste objet à débat. Cependant, préférer de temps à autre au beurre et à la viande, l’huile d’olive et le poisson permet de réduire le risque de maladie cardiaque, assure cette large cohorte américaine portant sur plus de 100.000 participants suivis pendant plus de 20 ans. Des conclusions sans grande surprise tout de même, présentées dans le British Medical Journal, mais qui doivent sensibiliser à nouveau à limiter ses apports d’acides gras saturés.
Si plusieurs études ont suggéré des risques associés à la consommation d’aspartame, l’édulcorant a néanmoins été confirmé comme « sûr » par la dernière évaluation de l’Agence de sécurité européenne EFSA. On en consomme pour réduire ses apports en sucres, cependant… Cette étude du Massachusetts General Hospital (MGH) révèle un mécanisme possible qui contribue à expliquer pourquoi l’édulcorant aspartame ne favorise pas la perte de poids.
Compléter un régime alimentaire avec des fibres fermentescibles (dont l’amidon) peut réduire l’appétit et le gain de poids corporel. Mais voilà, il existe une condition à cet effet, le récepteur d’acide gras libre 2 (FFAR2). C’est la démonstration de cette équipe britannique qui décrypte encore un peu plus le mécanisme sous-jacent « fibres fermentescibles-microbiote-métabolisme et satiété », dans la revue Nature Reviews Endocrinology.
Dans la littérature scientifique, la carence en vitamine D, fréquemment associée à une insuffisance d’exposition (raisonnable) à la lumière du soleil, est documentée comme associée à toute une gamme de complications, en particulier à la fragilité et à la maladie osseuses. Les personnes carencées devraient prendre une supplémentation, ainsi que certains groupes de population plus à risque, dont les femmes enceintes.
Et le risque d’un large éventail de maladies chroniques pourrait être très réduit avec cette simple consommation de quelques noix, chaque jour. Ces données d’une équipe de l’Impérial de Londres, présentées dans la revue BMC Medicine, montrent que 20g de noix par jour suffisent à réduire le risque de maladie cardiaque, de cancer et autres maladies chroniques. Des conclusions peu contestables puisqu’issues des données de plus de 800.000 participants.
Les graisses saturées pourraient être bonnes pour la santé, conclut cette étude de l'Université de Bergen (Norvège), qui apporte de nouvelles données à ce débat de longue date et remet en question l’effet « malsain » de ces acides gras, en particulier pour la santé cardiaque. Cette conclusion, étayée dans l’American Journal of Clinical Nutrition, engage en fait à consommer des aliments diversifiés et de bonne qualité.
Cette recherche de l'Université de Tel Aviv (TAU) suggère que les famines et les jeûnes traversés au cours de notre histoire laissent leur empreinte génétique sur la descendance. Une empreinte génétique néfaste, puisqu’elle raccourcit considérablement la durée de vie des enfants et de leurs descendants de sexe masculin. Une étude présentée dans l’American Journal of Clinical Nutrition qui aboutit à un résultat surprenant : Le raccourcissement des télomères induit par la famine est un phénomène sexuellement dépendant.
Des risques significativement accrus de diabète, de maladie cardiaque, d’accident vasculaire cérébral et de cancer, les risques d’une consommation excessive de produits alimentaires à base de viande ont été largement documentés. Cet examen de la littérature qui nous apporte une nouvelle synthèse, très complète, de ces effets sur la santé et nous en révèle un tout nouveau : celui d’une « exacerbation » de certains symptômes de l’asthme.
Drôle d’expérience qui nous est relatée par ces chercheurs de l’excellent Cornell Food & Brand Lab ! Le repas, partagé avec d’autres apparaît, mais seulement chez les hommes, comme un moment de rivalité et une « démonstration de virilité », écrivent les auteurs. Car en société, en compagnie d’autres hommes, les hommes mangent 30% de plus ! En synthèse, ces conclusions présentées dans la revue Frontiers in Nutrition montrent que « l'alimentation sociale » conduit à la suralimentation… surtout chez certains hommes.
Le sucre, en excès, est associé à l'obésité, au diabète et à la carie dentaire et limiter sa consommation de sucre fait partie des recommandations nutritionnelles de la plupart des pays du monde. Cette étude financée par des géants de l’industrie alimentaire, de boissons et de produits alimentaires sucrés (Coca-Cola, PepsiCo et McDonald), peut être remise en cause, pour conflit d’intérêt.
Nestlé HomeCare place le patient au centre de ses préoccupations !
> EN SAVOIR PLUS |
|
Nestlé HomeCare signataire de la charte patient (FFAAIR)Le respect de cette charte montre l’implication de Nestlé HomeCare pour mettre en œuvre des prestations de qualité. > EN SAVOIR PLUS |