Cette recherche, très expérimentale, révèle comment les muscles parlent au cerveau pour réguler le comportement alimentaire. Pour la première fois, ces chercheurs du St.Jude Children's Hospital (Memphis) montrent que le muscle squelettique communique ses besoins nutritionnels au cerveau de manière similaire au tissu adipeux, et mettent en lumière les mécanismes qui régissent ces signaux alimentaires. Des résultats expérimentaux, de travaux menés chez des mouches des fruits, présentés dans la revue Genes & Development, qui trouvent néanmoins, leurs équivalents chez l'Homme.
Peut-on en d’autres termes faire « sérieusement » baisser son taux de cholestérol LDL (ou mauvais cholestérol) en réduisant certains acides gras dans son régime alimentaire ? Si la réponse peut sembler évidente, les études, pour différentes raisons notamment méthodologiques, ne font pas consensus sur ce point. Cette méta-analyse, hyper-rigoureuse confirme cependant une relation dose-dépendante entre le cholestérol alimentaire et les niveaux de cholestérol LDL sanguins.
Antioxydants, polyphénols, flavonoïdes, anthocyanes, tanins, resvératrol, vitamines, bétacarotène, pigments dont lycopène, omega-3 etc…tous ces nutriments bioactifs commencent à être bien documentés comme bénéfiques à la Santé. Mais comment s’y retrouver et mesurer nos apports alimentaires réels ? Cette équipe de l'Université de Reading travaille à l’identification de nouveaux biomarqueurs pour mesurer avec précision l'apport alimentaire en agents bioactifs clés. Deux études, présentées dans les Scientific Reports marquent une toute première étape avec une validation à grande échelle de premiers biomarqueurs objectifs pour l'apport en flavanols (présents en forte concentration dans le chocolat) et en procyanidines (épicatéchine) présentes dans le thé vert.
Les personnes contraintes à des restrictions alimentaires peuvent, en périodes de Fêtes et au moment des repas, éprouver un sentiment d’exclusion. Cette étude de l'Université Cornell, présentée, révèle une conséquence jusque-là peu documentée des régimes alimentaires, ce sentiment de solitude, qui peut dépasser largement le contexte des repas. Un sentiment qui s’avère comparable au sentiment d'exclusion, parfois ressenti en cas d’appartenance à d’autres minorités.
Cette étude de l’Université de Linköping (Suède) montre toute l’ampleur et la rapidité des effets de l’alimentation sur le sperme et en particulier, sur sa motilité. Ces conclusions, présentées dans la revue PLOS Biology apportent un nouvel aperçu de la fonction du sperme en identifiant la présence de petits fragments d'ARN au rôle clé dans l'expression « épigénique » au sein des cellules de reproduction, et indirectement dans la fertilité.
Les études montrent déjà l’impact de la croissance démographique et de l'augmentation des revenus sur l’augmentation de la demande mondiale de nourriture. Cette équipe de l'Université de Göttingen ajoute un facteur non négligeable à cette projection : l’augmentation de notre taille corporelle (taille et IMC) qui pourrait, elle-aussi, influer considérablement sur nos besoins en calories. Ces chercheurs développent, dans la revue PLoS ONE, 4 scenarii qui tous concluent à l’urgence de politiques qui améliorent l'accès à la nourriture dans les régions actuellement économiquement faibles.
Ce que nous mangeons et quand, modifie nos horloges internes et nos réponses hormonales. De précédentes études ont ainsi montré toute l’importance de la chrononutrition mais aussi de la chronomédicine pour lutter contre le développement de la maladie métabolique. Cette recherche de l'Université de Tel Aviv suggère à nouveau, ici dans la revue Diabetes Care, que manger en phase avec l'horloge biologique pourrait pratiquement remplacer le traitement du diabète.
Plus d'un pays à revenu faible ou intermédiaire sur 3 est confronté à ces 2 extrêmes de la malnutrition, qui reflètent les anomalies de nos systèmes et de nos régimes alimentaires. Ces chercheurs de l’Université de Caroline du Nord qui exposent l’ampleur du problème dans le Lancet, appellent simultanément à de nouvelles approches pour réduire ces 2 fardeaux, de plus en plus corrélés, avec les évolutions extrêmement rapides de nos systèmes alimentaires.
Cette étude pilote menée à l’Université de Californie – San Diego apporte de nouvelles preuves d’efficacité d’une limitation de l’alimentation à une fenêtre de 10 heures chaque jour. Cette forme de jeûne intermittent quotidien permet en effet une perte de poids, une baisse de la pression artérielle et une meilleure gestion des niveaux d'insuline. Ce n’est pas la première étude à mettre en avant les bénéfices métaboliques d’une restriction de la « plage alimentaire » quotidienne.
Cette recherche de l’Hôpital pour enfants du Colorado, qui examine les résultats de fonction physique et nutritionnelle des patients adolescents après une chirurgie de perte de poids, vient ajouter à la preuve d’efficacité de cette intervention chez les plus jeunes, atteints d'obésité morbide. Des preuves importantes en regard de la hausse constante des taux d’obésité pédiatrique, en particulier aux Etats-Unis. Les conclusions, présentées dans la revue Pediatrics, au-delà de souligner des avantages déjà documentés, rappellent l’importance d’une approche multidisciplinaire vis-à-vis de ces jeunes patients obèses.
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